Dans un seul cabinet situé en périphérie de nanterre, une acupunctrice pratiquait son art sur plus de 10 années dans une discrétion supérieure. Les murs en dessein explicite, l’odeur d’huiles prédominantes et le calme régulier formaient l’écrin parfait pour les séances chaque jour. Jusqu’au date où, en plantant une aiguille au no

Depuis quatre ou cinq journées, les prédictions ne dépendaient plus du malaxer ni même de la position. Elles surgissaient comme des éclairs silencieux, parcourant l’esprit de l’acupunctrice sans alerter. Ce matin-là, dès lors qu’elle buvait son thé en adoptant la luminosité découvrir les stores de sa spectateur d’attente, une phot

Dans un seul cabinet localisé en périphérie de lyon, une acupunctrice pratiquait son art sur plus de dix années dans une discrétion suprême. Les murs en visée régulier, l’odeur d’huiles essentielles et le calme constant formaient l’écrin extraordinaire dans les séances journalieres. Jusqu’au ajour où, en plantant une aiguille au

Le musée, seul durant des décennies, s’étendait dans une obscurité silencieuse, où seuls deux ou trois rayons de journée filtrant par les vitraux fissurés illuminaient les salles désertes. Adrien, conservateur d’art, progressait délicatement via les couloirs poussiéreux, son regard clair sur les toiles accrochées aux murs décrépits

Dans les vastes steppes de Mongolie, où le vent chantait à travers les montagnes, un village solitaires vivait au rythme des traditions médiévales. Ici, les ancetres des pères guidaient encore les vivants, et les desseins des bûchers rituels révélaient l’avenir à ce qui savaient déchiffrer leurs messages. Le chamane du village, gardien